Orléans A. Bahamut

Ancien membre

Orléans Avelin Bahamut

« "Un gosse c'est celui qui croit en les légendes. Un homme, c'est celui qui s'en forge une." » Âge : 49 Pays d'origine : Thanaliel Pays actuel : Thanaliel Métier/Activité : Ex-Officier et Ex-Aventurier Arme(s) :Sabre Description mentale Elevé sur des histoires de héros et devenu aventurier lui-même, voyagé au pole sud et ayant été dans l'armée, Orléans a une personnalitée de dur à cuir qu'il expose dans toute sa gloire et infortune. Désillusioné de ses idées d'enfant, il voit le monde comme un univers plus gris que noir et blanc. Il n'y a pas de mal ou de bien, seulement des idéaux différents et des gens à la recherche du bonheur. Né noble et s'étant prouvé par ses actions, Orléans peut se montrer arrogant, fier et authoritaire. Il serait en revanche une erreur de croire que cette arrogance le fait sous-estimer les autres, au contraire il juge les personnes par leurs accomplissements. Les personnes qui n'ont rien fait de leur vie sont à ses yeux des fainéants et des sots qui n'ont que trop peur d'essayer quelquechose. Il est rapide de provoquer Orléans qui hésitera aucunement à se battre. Il vit pour le combat et la politique, le conflit lui fait se sentir vivant, l'adrénaline le met en extase que ce soit un sabre ou une plume en main. En terme d'amitiées, Orléans est une personnes qui s'ouvre facilement mais dont il est difficile de se rapprocher. La frontière entre connaissances et amis proches est une véritable tranchée et ses proches se comptent sur les doigts d'une main. Orléans a connu son petit lot d'histoires d'amour, même si elles tennaient plus de la luxure d'une soirée et jamais rien de long-terme et profond. Il serait pas étonnant si il a laissé deux ou trois bâtards sur son chemin. En termes politiques, Orléans n'est certainement pas neutre. Il considère que le départ des déesses est une des meilleures choses qui pouvait arriver pour le monde. Les Oniristes sont des anarchistes naïfs qui oublient que la nature humaine est une de conflit et pas de bonne entente et leur idéologie ne mènera qu'à un retour, albiet lent, à la situation actuelle. Pourtant le status-quo ne le satisfait pas. Le monde tel qu'il est n'est que trop instable et le conflit est innévitable. Le vide causé par la disparition de Katarina mettera bien des décénies si ce n'est des siècles à se combler si les choses continuent ainsi. Thanaliel est devenue une corporation qui prétend être un gouvernement viable, réduisant en quasi-esclavage le peuple sous sa tutelle et offrant par son dirigeant qui ne note rien la garantie d'un avenir sombre et désastreux une fois qu'elle mourra ou partira à son tour. Vastaroth est une cacophonie de mort et de sang, d'intrigue et de trahison où la stabilitée n'est qu'un lointain souvenir. Pays sur la voie du suicide, il n'offre que la destruction à son peuple, victime de la folie d'un souverain insolent et indigne. Siraën qui malgrès sa libertée et son avancée est devenu une nation sans loi où la révolte est innévitable et où les mafias et gangs finiront par déchirer le petit paradis en cliques pseudo-militaires. Enfin, Zalefan, royaume maritime où l'esclavage règne encore en maitre et où le monde continue de faire semblant que les choses n'ont pas changé. Les divisions régissent encore les sirènes et les oniristes en ont fait leur refuge. L'ère des dieux est finie sur Nitziel. Maintenant, il est temps pour l'ère des hommes de commencer. Une alternative à ces états déstructeurs et injustes doit s'offrir et si personne le fera, alors il le fera. Le monde doit être réunifié sous une seule bannière, celle de la stabilitée et de la poursuite du bonheur. L'histoire a toujours été régi par de grands hommes, maintenant une nouvelle page commence.

Description physique Sexe : Homme Orientation sexuelle : Tayka'suma Yeux : Vert Jade Cheveux : Blonds et courts Traits du visage : Machoire large, nez droit, petites oreilles, yeux en amende fine. Taille : 1.87m Poids : 86Kg Marques visibles : Deux cicatrices de griffe sur le visage, côté gauche. Une cicatrice de coup d'épée sur la pomette, côté droit. Une cicatrice large de coup brut sur le côté gauche du front. Une petite cicatrice de coupure au centre du front. Une cicatrice au niveau du pouce sur la main droite causée par un sabre. Une longue cicatrice sur le dos partant de l'omoplate droite jusqu'à la rate causée par une bête sauvage. Une cicatrice de morsure au niveau de la cheville, jambe droite. Petite cicatrice en haut du nez causée par une rapière. Habillement : Uniforme militaire aux couleurs de sa famille noble: Rouge, Noir et Or. Accompagné d'une fourure qu'il a dépecé lui-même lors de ses aventures aux poles. Spécificités raciales La peau d'Orléans est plus fragile et délicate, comme celle des elfs. Il avait en grandissant des oreilles plus pointues mais elles se sont arrondies avec sa croissance. Orléans paraît principalement humain à première vue, de rares détails laissant resortir sa nature de demi et sa peau délicate étant meurtrie par les cicatrices de combat et durci par les environements hostiles où il s'est aventuré. Ses petit yeux lui donnent un regard perçant aux yeux des autres. Il se tient droit et use de sa hauteur pour se donner un air d'authoritée. Les mains d'Orléans sont un peu larges et musclées à force d'avoir vécu dans le grand sud. Les habits d'Orléans sont bien entretenus, régulièrement lavés. Il use des couleurs de sa famille car elles ont le bénéfice de cacher les taches de sang lors de blessures. Un ennemi qui ne saigne pas fait peur. Lorsqu'il s'agit d'être plus confortable, Orléans se contente simplement d'un haut en lin gris ou beige tenu par des fils en corde ainsi qu'un pantalon en laine généralement foncé. Orléans garde ses cheveux courts mais juste assez pour sentir le vent les emporter lorsqu'il se repose sur une chaise en bois en extérieur. Les cheveux trop longs gênent et peuvent aussi bloquer le soleil qui réchauffe avec douceur durant l'automne. Bien qu'il puisse parfois se plaindre de l'apparence qu'il lui donnent, Orléans ne se séparerait pas de ses cicatrices, même si il le pouvait. Chaque blessure porte avec elle une mémoire importante, elles font de lui qui il est. Même si pour quelques évenements importants, il pourrait en cacher certaines mineures avec des cosmétiques ou de la magie, il préfère garder les principales bien visibles.

Race

Demi    Humain - Elfe

Durée de vie de 350 ans. Oreilles humaines. Equilibre à toute épreuve. Aucune transformation. Peau humaine très claire. Yeux humains.

Histoire Orléans Avelin Bahamut est né près la citée d'Hirion sur les terres de ses ancêtres, fils de Charles Toulouse Bahamut et Aelenor Nantes Staurheim. Son père est un grand politicien dont l'age d'or est passé depuis longtemps. Aelenor, elle, oeuvrait dans l'ombre et l'intrigue pour aider au mieux la famille, devenant une des nombreuses mains invisibles derrière bien des assasinats. Orléans grandit dans un grand manoir entouré de jardins et de quelques plantations qui alimentaient le coffre familial. Les terres d'Hirion sont parfaites pour le vin, c'était certain. Les grappes pourpres ont fait parti des premières choses que Orléans a connu. Il fit ses premiers pas dans ces champs de vignes où le soleil chauffe la peau avec douceur. Le vent faisait dancer les hautes herbes où courraient les chiens de la maisonnée. Orléans fut surtout élevé par sa nourrisse, la gentille Sarah Dryden, une humaine venant du nord du continent, solide et portant souvent des robes en soie noir et brun, portant des colliers de grandes pierres multicolores. Elle faisait de son mieux pour coiffer ses cheveux noirs comme une fameuse actrice locale. Elle a perdu un oeil, la moitié de son visage sévérement brûlée, mais l'oeil restant brille d'un vert écarlate comme du jade. Elle a une personnalitée assez brute mais est bien plus gentille et douce que son apparence semble dire. Elle avait aussi la facheuse habitude de draguer les femmes locales quelquesoient les circonstances. Sarah venait d'une riche famille du nord. Elle s'est faite brûlée par une vieille femme soupçonnée d'être une sorte de sorcière diabolique. Durant son adolécence, elle est devenue une mercenaire, travaillant si le prix était bon, jusqu'à prendre une retraite anticipée pour finir comme la nourrice du fils d'une grande famille, ainsi qu'une des tuteurs de l'enfant. Ses histoires de combat ont berçé l'enfance du petit Orléans qui se mit à jouer avec les enfants des servants, épée en bois dans sa main, faisant semblant d'être le preux guerrier qui combattait les monstres. C'était là que l'on pouvait voir cette scène récurente: Sarah sur une chaise qui surveillait de son oeil unique l'enfant aux cheveux d'or se battre férocement contre les forces du mal avec ses fidèles compagnons sous le soleil tiède de Nitzihell. Parfois ces combats continuaient jusque dans les cuisines, là où John Marleigh, le cuisinier, se faisait surprendre par les enfants venant mettre le bordel dans son domaine. John était un homme assez agé, portant souvent, lorsqu'il cuisinait pas, un grand manteau vert sans manches. Il n'est pas une figure intimidante, ses cheveux rasés courts et ses yeux bleus complémentant ses joues un peu pouffues. John était une sorte de grand nounours en apparence, mais il restait un homme assez mélancholique derrière le rideau, mais un travailleur persistent. Son plus grand handicap est qu'il est né aveugle, ayant jamais vu le monde de ses yeux. Il survivait au jour le jour en faisant ce qu'il pouvait. Petit à petit, il perfectionna ses autres sens et devint un excellent cuisinier travaillant pour les Bahamut. Au fond, il était peu satisfait de son emploi et rêvait encore d'avoir son propre restaurant, malgrès ses faiblesses. Ce rêve, il sera parti essayer de l'accomplir durant ses dernières années de vie, mais il périra lorsque des bandits viendront le piller, finissant face contre terre dans un fossé aux côtés de la route vers la côte. Mais ce temps n'était pas encore venu, il était encore là à se confronter au désordre de l'enfant noble. Lorsque Orléans eut 5 ans, il accomplit une des pires bêtises de son enfance. Il décida après un pari avec un homme mystérieux habillé dans une robe noire et avec une cicatrice sur l'oeil, de grimper la tour en ruine près de leurs champs. Oui, cette vieille tour en pierre qui tennait par pur miracle, recouvert de vignes et dont les escaliers ont roti il y a longtemps. L'impulsif Orléans se jetta sur les murs, tirant de toutes ses forces avant d'arriver au sommet. Il glissa, sa main droite étant la seule chose qui le retennait en vie en continuant de s'accrocher. Il tennait encore bon, encore fermement, remontant son bras gauche et essayant d'attraper une prise avec ses jambes. Il reprit son ascention, grinçant fermement des dents alors que son visage rougissait tellement il perdait ses forces. Mais, il réussit, il arriva au sommet. Il se sentait faible, fatigué, peut-être qu'il prendrait bien un somme. Il fut retrouvé le lendemain par la garde privée de la maison noble, perché sur sa tour. Les adultes étaient tous d'accord, une chute aurait été mortelle. Orléans ne revit pas l'étrange monsieur, mais sa mère si. Elle trancha la gorge à l'assasin de pacotille qui a osé essayer de toucher son fils, n'ayant aucune pitiée et aucune envie de garder ce mercenaire en vie plus longtemps. Elle allait trouver qui après tout, pas besoin de se presser. Après ce petit évenement, Orléans fut plus surveillé, plus enfermé. Sortir était devenu une interdition trop difficile à braver. Plus que ça, l'inquiétude de perdre leur héritier poussa probablement ses parents à donner vie à une fille, Katerine. La petite soeur d'Orléans était toute chétive, toute faible, bien opposée à la constitution de combattant qu'Orléans s'est constitué. Elle passait son temps à être plus passive, plus attentive à ce qu'il se passait autours d'elle. Elle apprit à parler avant de marcher, une chose qui fut difficile pour elle. L'on découvrit tardivement que ses os avaient subi une malformation et simplement se tenir debout lui causait une douleur infâme. Pour le restant de ses jours, elle continuait de se déplacer sur un fauteuil roulant, toujours un petit livre à la main depuis qu'elle apprit à lire. Katerine était née une demi-elf aussi, elle hérita surtout de la longévitée raciale et sa croissance physique fut très lente. En revanche, elle avait clairement l'esprit et le cerveau d'un humain, devenant mature à la même vitesse que ses pairs, si ce n'est plus vite. Elle est ce qu'on qualifierait d'un génie, un génie emprisoné par un fauteuil roulant dont elle ne peut se détacher sans subir la torture que le monde a décidé de lui infligé. Orléans s'est grandement attaché à sa soeur, devenant très protectif, si ce n'est un peu trop parfois. Ils sont devenus presque inséparables, si ce n'était pour les aventures que le jeune Orléans continuait à faire dans les plaines autours de leurs terres. Quand il eut 11 ans, il commença à être sous la tutelle de bien d'étranges personnes qui lui ont appris à se battre et à comprendre la politique et gérer ses biens. Il apprit l'étiquette des nobles, chanter, dancer, comment s'habiller, mais rien ne pouvait le détacher de l'envie de partir à l'aventure et de se forger une légende comme dans les vieux contes. Maturant lentement, comme ceux de sa race, Orléans partit pour devenir officier avant sa majoritée. C'était le seul capable de se battre parmis les enfants Bahamut et donc il se devait qu'il soit formé à l'art de la guerre. Le jeune homme de 16 ans partit pour Siraën sur un navire, quittant pour la première fois sa maison et l'authoritée parentale. Il a fini à Fegria, dans l'académie militaire. Sa formation l'a poussé au bord multiples fois. Il fut réprimandé pour insubordination, impulsivitée et tendances colériques. Pourtant, l'on ne pouvait nier, il avait un oeil pour les tactiques et la politique qui fut d'autant plus raffiné par son expérience contre une hierarchie parfois corrompue ou népotiste selon les personnes. Orléans resta dans cette accadémie jusqu'à ses 20 ans. Il y rencontra Fergius Dolmaren, un humain pur qui avait une façon de manier les armes assez unique. Malgrès toutes ses tentatives, Orléans arrivait jamais à vaincre cet homme. Pourtant, ce qui aurait du être une rivalrie sans pitiée est devenu une amitiée suite à des exercices de grande taille et autres activitées. Ils ont fini par se faire confiance et ont mis de côté leurs conflits pour devenir des têtes de classes dans leurs promotions respectives. C'est pour cela d'ailleurs, que la décision d'Orléans de ne pas rejoindre l'armée choqua Fergius. Orléans lui répondit qu'il avait un domaine qui l'attendait à la maison, et qu'il souhaitait graver son nom dans l'histoire à sa façon, pas en étant un garde pour un monde en paix perpétuelle. Fergius, lui, resta dans l'armée, il continua à se prouver compétent et méttait ainsi les pièces en place pour la tragédie à suivre. Orléans revint sur Thanaliel pour trouver son domaine en mauvaise posture. Leurs champs étaient gris là où autrefois les grapes saturaient les couleurs du paysage. Une ambiance de mort surplombait les terres autours d'Hirion. Sa mère était morte et son père tombé en disgrace avec la cour suite à une mésaventure, quelquechose à voir avec la déesse. Jamais Orléans ne sut ce qu'il s'était exactement passé, mais il mit toute sa colère contre la déesse, aussi idiot et illogique que ça soit. Il ne pouvait voir qu'elle comme raison. C'est alors qu'il partit encore une fois, épée en main, pour faire le tour du globe. Orléans devint un aventurier, un mercenaire glorifié, aidant les gens en échange de pièces ou d'un service. Souvent, il devait tuer des créatures pour pouvoir dormir sous un toit sec la nuit suivante. Il se styla sans-bannière, même si officiellement il demeurait un noble aristocrate disparu, partant pour les poles. Orléans vécut dans le froid et la glace du grand sud, survivant comme il pouvait et continuant à se battre contre les créatures ou parfois les exilés cherchant à prendre le peu qu'il avait. Le froid est sans-pitiée, réduisant la fiertée d'un homme à des os exposés à l'air glacial. C'est là qu'il a pu vraiment se rédécouvrir et changer. Il a affronté chaque jour le monde hostile qui l'entourait, combattant régulièrement les bêtes pour obtenir de quoi manger. Il apprit à se faire un campement, à vivre de façon nomade et à reconnaitre l'environnement du nord comme sa poche. Parfois, il lui arrivait d'être attaqué par d'autres sans-bannières, s'étant formés en groupes pour survivre et plus facilement défendre ou attaquer. Orléans, lui, préferait être seul. C'était une sorte de punition qu'il s'infligeait pour une raison qui lui échappait. Il se souvient plus vraiment de ses raisons originelles pour être parti, mais il ne le regrète pas. Il est resté là bas pendant 5 ans avant de revenir une fois calmé et devenu plus humble face aux forces de la nature. Il n'était plus exilé de lui-même, officiellement retrouvé après sa disparition, reprennant rapidement ses fonctions de fils de noblesse, mais il n'oublia jamais le grand sud. Non, il n'oubliera jamais la paix qu'il y trouva, ni la beautée de la glace et de vivre en solitaire avec la nature. Il n'était pas revenu seul, prenant avec lui un loup blanc du grand sud. Pendant un moment, il était même persuadé que c'était là son familier, celui avec qui il était lié, mais le futur lui dira le contraire. Néanmoins, c'était son ami fidèle portant le nom de "Blizard". Le grand loup blanc suivit Orléans est une créature d'une loyautée impecable. Le noble enfant autrefois naif et avide d'aventure eut son plein de véritées qui mirent fin à ses petites illusions. L'homme qui serait surnomé "Le Dragon" par les sans-bannières était enfin né, pour de vrai cette fois. Orléans réussit à convaincre son père de doucement se retirer de ses affaires et le laisser prendre le dessus avec l'aide de sa chère soeurette, devenue une sage dont les conseils et la connaissance étaient essentiels aux ambitions nées depuis son retour. Orléans retourna dans l'armée et finit par coïncidence sous le commandement de son vieil ami Fergius qui était devenu un général respecté qui tira quelques ficelles pour replacer son ami dans une position adéquate. Adéquate voulant dire en tant que son subordonné direct. Orléans était pas là par un essort soudain de patriotisme ou de bonne volontée par rapport à la déesse. Même si il a cessé depuis longtemps de l'accuser de ses malheurs, il n'en tennait plus une opinion positive, la voyant comme une parasite impulsive et arbitraire qui empêche la quête de bonheur de chaque personne par ses limitations et ses pouvoirs. Non, il était là car il avait senti que l'armée serait un bon départ pour aquérir une réputation positive dans le monde. Sa soeur l'avait informé de quelques histoires qu'elle entendait dire, des rumeurs d'un conflit à venir. Ce conflit, il fallait qu'il y participe, et bien entendu du côté gagnant. L'on est en 2015 de notre ère, Orléans atteint alors ses 39 ans alors que les choses deviennent enfin clairs. La guerre sera innévitable, et il a pris soin de se placer dans le camp gagnant. L'oniriste n'était qu'une faible résidant sur une ile hostile où leurs ressources seraient limités, ils surviveraient jamais une attaque de leur part, encore moins une invasion sur le continent. En revanche, le cas de la nouvelle déesse était plus incertain. Leur armée était limitée, certainement inférieure, mais les pouvoirs d'une créature divine sont indéniables. Il n'y avait de cas précédent, rien qui permetterait de servir de base pour cette nouvelle menace et ses conséquences. Alors... Orléans prit le pari de suivre la déesse créatrice. Ce serait un pari dont le résultat pouvait signifier sa gloire ou sa mort. La guerre éclata enfin. Le combat fut difficile. Orléans se distingua sur le front aux côtés de Fergius. Il était là pour voir de loin la disparition du palais lors du dernier combat qui mit fin à la guerre. Cet évenement fut choquant pour bien des raisons. Le status quo était brisé, certes, mais Fergius était dans ce palais, en train de se battre. Son ami, avec toutes les forces de cette guerre, a disparu, laissant derrière ce lac étrange. C'était un coup dur. Il n'a pas fallu beaucoup de temps pour que la sociétée se réorganise et que les opportunistes aggrippent la pomme laissée par Katarina, se l'arrachant des mains des autres. Orléans, lui, avait besoin de repos et de calme. Il repartit pour le grand sud, laissant cette fois un message et la garantie qu'il reviendrait. Il avait juste besoin de ça, de revoir la neige et le grand froid, de se battre à nouveau contre quelquechose de moins humain. Cette disparition dura deux ans, deux années pleines de solitude avec son loup au delà de toute civilisation. C'est là qu'il sentit quelquechose pour la première fois. Cette sensation de lien, de partage... Cette..... âme. Une grande bête descendit du ciel pour se poser devant lui alors qu'il tirait le cadavre d'une créature marine qu'il venait de tuer sur la banquise. Ils se regardèrent dans les yeux pendant très longtemps. C'était donc ça son familier? Il vit ça comme un signe, un signe qu'il était essentiel qu'il revienne, un signe comme quoi les temps étaient grâve et que une nouvelle opportunitée viendrait pour lui dans ce monde sans-dieux. Qui aurait cru que l'aristocrate naïf deviendrait un guerrier ambitieux, un tacticien en quête d'une légende, un champion voulant graver son nom dans l'histoire au bout d'une épée s'il le faut? Le Dragon, Orléans Avelin Bahamut, d'une façon ou d'une autre, allait marquer le monde au fer rouge. Que seraient les conséquences de son existance? Seul l'avenir le dira.

Pouvoir Légende Orléans a toujous vu ça un peu comme une sorte d'instinct. Passif, son pouvoir lui permet de "voir" ce qui l'entoure un peu comme une sorte de radar. Il voit avec un décalage de 3 secondes dans le futur. Le rayon de sa vision est au maximum de 20m si aucun obstacle est présent. Chaque obstacle limite sa vision. Il peut "voir" à travers les murs, mais pas aussi loin, l'épaisseur pouvant rapidement lui retirer une grande part de sa visibilitée. Cette vision périphérique et prédictoire lui permet de bénéficier d'une avance sur toutes les attaques entreprises contre lui. En revanche, il ne peux entendre cette vision ni même y distinguer les couleurs, ne voyant qu'un monde en variations de gris. Orléans peut essayer de se concentrer pour chercher des détails mais en temps normal, il ne remarquera que les blessures qu'on lui infligerait dans exactement 3 secondes sans plus. Cette abilitée est totalement indépendante de ses capacitées physiques. Il peut savoir qu'il va se prendre une flèche mais si il n'arrive pas à éviter à temps cela ne changera rien à son sort.

Famille et proches

Charles Toulouse Bahamut: Père d'Orléans et encore la tête de la famille aristocratique. Autrefois un éminent politicien, il s'est retiré de la vie publique après être tombé en disgrâce en laissant petit à petit ses enfants prendre les devants de la scène. C'est encore un redoutable adversaire en rhétorique, mais ses jours de gloire sont derrière lui à présent. Son visage amminci n'est que l'ombre de son passé, usé comme un rocher en bord de mer.

Aelenor Nantes Staurheim: Mère d'Orléans, elle est morte de maladie durant son abscence. C'était une courtière douée dans la conspiration et l'intrigue. Son influence derrière la scène restait considérable de son temps et elle s'est faite beaucoup d'ennemis. Petit à petit, elle perdit ce pouvoir mais est morte avant d'avoir vu son influence disparaître à néant. Cela eut le bénéfice d'éviter certains réglages de comptes qui auraient sans doute continués à la viser, elle et sa famille.

Katerine Elizabeth Bahamut: Née une demi-elf comme son frère, elle fut maudite d'une diformitée dans les os de ses jambes, la condamnant à marcher avec douleur ou rester clouée à son fauteuil roulant. C'est une érudite doté d'une grande sagesse. Orléans serait prêt à beaucoup pour protéger sa soeur si jamais elle se trouvait en danger, si ce n'est tout. Ce n'est pas seulement une ressource essentielle pour ses ambitions, mais son propre sang. Ils sont inséparables malgrès les aventures lointaines d'Orléans.
Généralement, c'est elle qui gère les affaires de la maisonée Bahamut depuis que son père lui a légué ses fonctions dans ce domaine. Elle a un talent pour les chiffres et la sociologie.

Familier

Urd est un Dragon du Sud agé de 142 ans qui a vécu presque toute sa vie dans les terres du Pole Sud. En effet, elle était né sur le continent en tant qu'un des derniers de son espèce à résider dans les montagnes de Vastaroth. Elle fit partie de la dernière vague à quitter le continent pour le pole sud où elle resta jusqu'à rencontrer Orléans.
Urd est un grand individu de son espèce, mesurant bien 8,62m de long avec des ailes de 6,3m d'envergure.
La personnalitée d'Urd est une de patience et de sagesse. Elle ne se laisse pas emporter par les passions et garde son calme en toutes circonstances. Sa relation avec Orléans est une de respect mutuel entre êtres solitaires. Elle le laisse monter sur son dos mais ne tolèrerait pas qu'il la traite ou commande comme un de ses loups.

Urd dévore l'équivalent d'un mouton et demi tous les 4 jours pour rester rassasié. Elle garde ce rythme avec une rigueur assez strict, refusant de manger d'autres jours que celui qu'elle a choisi.
Voler est une chose qu'elle aime beaucoup et perfome aussi régulièrement qu'elle puisse dans la mesure du raisonable.

Au niveau physique, Urd est marquée d'une blessure ancienne sur l'arrière de sa cuisse arrière gauche après qu'une lance de baliste l'a éffleuré lors de sa migration vers le sud.

Pseudo : L'on m'appelle "Non" ou "Arrête" voir même "Cesse de spammer Immersion" mais vous pouvez m'appeller Lawrence.
Âge : 20 ans
Tu nous viens d'où ? Des fin fonds de l'enfer. L'on appelle aussi cet endroit le discord.
Autre chose ? https://youtu.be/ZgKll_1JgPQ?t=68